À propos
La sociale K est une fabrique de spectacles vivants, de scénographies et d’expériences artistiques et culturelles créée par Julia Figuière, Julien Posada, Florent Blondeau & Jean Christophe Caumes ; qui après des années de collaboration artistique et des kilomètres de routes parcourues ensemble ont décidé de fonder La sociale K pour porter leurs rêves et leurs projets communs.
La sociale K met l’ingénierie au service de l’artistique.
Il y a 4 ans, une idée folle est née : l’envie de concevoir un nouvel objet qui viendrait répondre à nos envies artistiques tout en nous offrant la possibilité d’un renouvellement de notre pratique du fil. Nous avons donc imaginé, conçu et construit une structure nommée « Nyctinastia » qui sert aujourd’hui de scénographie au spectacle In Bìlico ; nous invitant à imaginer de nouveaux espaces, de nouvelles contraintes et nous permettant de sortir du caractère linéaire du fil en développant la dimension de circulaire et de collectif.
La sociale K ; une compagnie réunie autour d’une passion commune : le fil.
Nous développons une écriture spécifique du travail en trio sur le(s) fil(s) dans une recherche acrobatique et dansée, en utilisant nos corporalités et nos approches différentes de la discipline.
Dans nos créations, nous invitons le public à se projeter dans une lecture poétique de situations mises en exergue sur le fil en faisant écho à la fragilité, au côté éphémère et précieux de la vie et en mettant en valeur la notion d’instant présent. Nous utilisons le fil pour raconter l’humain, pour mettre en avant la beauté de la fragilité.
Nous explorons la place du corps sensible et du corps réflexe, la fragilité du geste, l’écoute et le rapport à l’autre, la capacité d’adaptation, la nécessité de l’ancrage face au désir de s’élever, la recherche de l’essentiel, la tension juste avant le point de rupture, l’absurdité de notre condition …
Création artistique / Production de spectacles / Organisation de formations et Workshops de fil de fer / Projets d’éducation artistique et culturelle / Échanges et expérimentations autour d’ateliers d’équilibre.
« Se mettre debout pour voir plus loin et accepter le déséquilibre vers l’avant »
Florent Blondeau
« Le fil est mon domaine, mon espace de liberté, mon petit havre de présent »
Julien Posada
« C’est du déséquilibre que naît la danse. Dépasser la précarité de l’équilibre sur un fil pour en jouer, en jouir, prendre plaisir à se mettre en danger, se sentir vivre »
Julia Figuière